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International Les éleveurs d’ovins se sentent sacrifiés pour la Nouvelle-Zélande

L’imminent accord de libre-échange avec la Nouvelle-Zélande inquiète grandement les producteurs d’ovins qui n’y voient que le maintien des contingents sans clause miroir.

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Les éleveurs d’ovins se sentent déjà sacrifiés par le projet d’accord commercial, en cours de finalisation, entre la Commission européenne et la Nouvelle-Zélande. La Première ministre Jacinda Ardern se trouve actuellement à Bruxelles pour parler des derniers détails en vue d’une signature à la fin du mois de juin 2022.

 

> À lire aussi : Un accord avec la Nouvelle-Zélande inquiète les éleveurs (28/06/2022)

« Mettre des garde-fous »

La Fédération nationale ovine (FNO) demande, dans une prise de position publiée le 29 juin 2022, au gouvernement français d’intervenir auprès de la Commission et du Conseil pour « mettre des garde-fous dans cet accord de libre-échange pour protéger les éleveurs, les consommateurs et les intérêts de l’Union européenne. »

 

Trois points du projet d’accord suscitent les inquiétudes de la Fédération nationale ovine (FNO) :

 

La FNO demande des garde-fous pour pallier les effets dévastateurs de ce projet d’accord. « Ces garanties passent a minima par la mise en place de conditions tarifaires et des critères techniques impératifs, dont notamment :

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