Bovins de boucherie Les cours des femelles de qualité se maintiennent
Cette semaine, l’activité commerciale ne fait pas apparaître de grands changements tarifaires parmi les femelles de qualité bouchère. La tendance est également au maintien des prix du côté des réformes laitières. En jeunes bovins, le commerce reste soutenu par la modestie de l’offre.
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Sur le marché de Cholet, les vaches blondes d’Aquitaine lourdes se négocient entre 5,00 et 5,30 €. Les plus légères de 400-450 kg se valorisent de 4,70 à 5,00 €. Les bonnes femelles parthenaises U affichent des tarifs compris entre 6,00 et 6,40 €, tandis que les plus communes se vendent entre 5,20 et 5,90 €. Les prix des vaches limousines U se maintiennent de 4,50 4,90 €. Les cours des charolaises R +/U− sont stables à 4,20 €.
Dans les charolaises de conformation R, la demande est plus réservée. Leurs tarifs se tiennent tout de même à 4,13 € à la moyenne. Toujours à Cholet, les rouges des prés s’échangent entre 3,95 et 4,15 €. Les vaches de plus de 10 ans subissent, quant à elles, une moins-value de 0,10 €/kg. La pression des industriels est de plus en plus sévère à l’encontre des animaux ayant une note d’engraissement de 1 ou 2.
En réformes laitières, la tendance reste inchangée, même si les industriels couvrent plus facilement leurs besoins. Les prix des bonnes prim’holsteins O se maintiennent entre 3,30 et 3,35 € en fonction des abattoirs. La grande majorité des vaches P= se négocie de 3,15 à 3,20 €. Le tri est plus sévère parmi les femelles P−1 et 2. Ces dernières se vendent entre 2,25 et 2,55 € selon leur poids.
En jeunes bovins, les tarifs reprennent 0,02 €/kg sur le marché de Cholet.
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