Bovins de boucherie L’activité commerciale tourne au ralenti
Dans les femelles de races à viande, la demande est très calme. De nombreuses boucheries traditionnelles sont fermées pour les congés dans les grandes villes tandis que les besoins se montrent un peu plus actifs en zone de campagne. La commercialisation des réformes laitières et mixtes, reste fluide au regard d’une offre modeste. En jeunes bovins, les tarifs progressent grâce à une demande italienne plus active.
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La vente est calme mais les tarifs sont reconduits au vu des disponibilités limitées en blondes d’Aquitaine, parthenaises, aubracs ou limousines. Sur le marché de Cholet, les femelles blondes d’Aquitaine U se négocient entre 4,62 à 5,17 €/kg net, et les limousines U entre 4,47 à 4,85 €/kg net. En race charolaise, les vaches U se commercialisent sur des bases tarifaires stables, de 4,15 à 4,27 €/kg net.
Du côté des allaitantes d’entrée de gamme, le commerce reste assez fluide, avec des muscles qui vont servir à alimenter les chaînes de viande hachée de races à viande.
En réformes laitières, les prix des bonnes vaches prim’holsteins O progressent légèrement, pour s’établir de 3,15 à 3,22 €/kg net sur le marché de Cholet. Les tarifs des normandes de conformation O affichent 3,20 à 3,38 €/kg net.
En jeunes bovins, la demande plus ferme émanant de l’Italie assure un écoulement plus facile et une nouvelle progression des cours. Les mâles charolais U se négocient de 3,93 à 4,05 €/kg net et les R se vendent entre 3,82 et 3,93 €/kg net.
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