Bovins de boucherie Le recul de l’offre facilite les échanges
La décapitalisation des cheptels de vaches laitières et allaitantes commence à se ressentir de façon plus sensible sur le commerce en vif. Depuis un an, les abatteurs ont renforcé leur poids sur le marché et proposent des tarifs plus rémunérateurs pour attirer la marchandise quand elle vient à manquer.
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En réformes laitières, l’offre se montre juste suffisante. La tendance reste positive pour les vaches prim’holsteins P+/O– lourdes. Ces dernières se négocient entre 2,80 et 2,90 € (soit +0,20 € par rapport à l’an dernier). Les vaches de conformation P=3 se vendent entre 2,65 et 2,75 € suivant leur poids ou les abattoirs.
Sur le marché de Cholet, l’écoulement se montre très fluide dans les parthenaises, blondes d’Aquitaine ou les limousines, avec des tarifs fermes. Les blondes d’Aquitaine lourdes se valorisent entre 5,00 et 5,25 €. Les parthenaises de qualité bouchère se commercialisent de 5,30 à 6,00 €.
Les charolaises R âgées de plus de 10 ans se négocient facilement, dans une gamme tarifaire allant de 3,75 à 3,85 €. Les plus jeunes se vendent entre 3,90 et 4,05 €. Du côté des vaches charolaises lourdes U, les tarifs se tiennent entre 4,10 et 4,20 €.
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