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Ovins Pâques en ligne de mire

Malgré un contexte de consommation peu soutenue, l’activité commerciale se raffermit dans les bons laitons, avec des opérateurs qui préparent les commandes de Pâques. Sur les marchés en vif, le commerce est plus actif.

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Les abatteurs doivent composer avec des disponibilités peu abondantes dans les agneaux de pays (sous signe de qualité). Les professionnels espèrent que les Français consommeront le traditionnel gigot d’agneau « Viande de France » pour les fêtes pascales, même si les importations néo-zélandaises seront encore présentes pour assurer les promotions dans les GMS.

 

Sur les marchés en vif, le commerce est plus actif. Les tarifs progressent à Parthenay et Sancoins, avec des hausses comprises entre 0,10 € et 0,15 €. Les agneaux U de 38-44 kg se sont négociés de 3,40 à 4,35 €/kg vif sur Parthenay, avec une moyenne à 3,75 €. Cette fermeté est également observée à Châteaumeillant, avec des R de 32-38 kg valorisés autour de 3,25 €.

 

En brebis, l’offre est mesurée et correspond aux besoins du moment. La vente est normale et les tarifs se maintiennent autour de 1,30/kg vif dans les brebis de plus de 60 kg.

 

En agnelets, l’activité commerciale est un peu plus régulière, avec davantage de marchandise et des tarifs qui se maintiennent sans difficulté. À Réquista, les cours ont gagné 0,20 € pour les sujets de 12-14 kg valorisés de 4,15 à 4,25 €/kg vif. Cette même gamme de marchandise est cotée entre 3,80 et 4,00 € à Laissac.

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