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Broutards Le commerce est très fluide

L’offre française de broutards ne couvre pas les besoins de nos clients européens. La demande baisse en Italie, mais reste bien présente du côté de l’Espagne, de l’Allemagne, et de la Belgique. Les exportations vers l’Algérie vont reprendre, mais avec des contraintes sanitaires et administratives.

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Sur les cadrans du centre, la qualité est souvent au rendez-vous, cela assure un commerce très fluide. Les tarifs retrouvent des niveaux attractifs pour les éleveurs. Les broutards ou les taurillons charolais U de 350-450 kg sont négociés autour de 3,60 €/kg vif sur Moulins-Engilbert. Ils sont vendus à 3,50 € à Châteaumeillant et Saint-Christophe-en-Brionnais.

Les tarifs se stabilisent également à un bon niveau dans les limousins sur les cadrans des Hérolles et d’Ussel, où les broutards U de 300-380 kg sont valorisés de 3,70 à 4,00 € en moyenne. Les animaux plus lourds, de 400-450 kg, se vendent autour de 3,60 €.

Sur les marchés de l’Ouest, les tarifs progressent de 15 € par animal sur l’ensemble des races et des catégories de poids à Châteaubriant.

Dans les femelles, le marché reste déficitaire pour couvrir la demande. Le commerce reste actif sur les cadrans avec des tarifs toujours très fermes. Les bonnes charolaises de 300-350 kg se vendent autour de 3,45 € à Moulins-Engilbert et Châteaumeillant. Les limousines de 300-350 kg sont à 3,33 € en moyenne à Ussel et aux Hérolles.

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