Broutards L'activité est perturbée après Pâques
Avec le jour férié du lundi de Pâques, de nombreux broutards n’ont pas été ramassés, ce qui limite sérieusement les apports sur les marchés et les cadrans. L’animation commerciale reste soutenue, et les tarifs se stabilisent.
Vous devez vous inscrire pour consulter librement tous les articles.
Après les grosses sorties de jeunes bovins pour les fêtes pascales, les grosses structures d’engraissement italiennes ont des besoins. La demande française reste soutenue pour faire face à la décroissance du cheptel allaitant et laitier.
Les prix des bons broutards charolais ou limousins de plus de 350 kg ont dernièrement baissé. Sur Moulins-Engilbert ou Saint-Christophe-en-Brionnais, les broutards de 350 à 450 kg se vendent entre 3,55 et 3,65 €. La demande est suivie dans les lourds avec des tarifs à 3,50 € de moyenne dans les 450-500 kg sur le marché de Moulins-Engilbert. A Cholet ou Châteaubriant, les charolais de 300 kg se négocient autour de 1130 € la pièce.
Cette dynamique commerciale se retrouve également dans le commerce du limousin où l’offre reste insuffisante pour la demande. A Ussel et aux Hérolles, les animaux de 350-400 kg se maintiennent entre 3,80 et 3,90 €. La demande se renforce dans les plus légers de 250-300 kg.
Dans les blonds d’Aquitaine, la demande reste soutenue et les tarifs se stabilisent à des niveaux élevés. Les sujets de 300-350 kg sont commercialisés autour de 4,05 € à Cholet.
Dans les femelles, les tarifs sont stables. Ils tournent autour de 3,20-3,30 € dans les bonnes charolaises ou limousines U vaccinées de 300-350 kg. Le commerce reste très calme dans les ordinaires ou légères.
Pour accéder à l'ensembles nos offres :