L’activité est fluide pour les bovins de boucherie
De leur côté, les industriels restent impactés par la faiblesse de l’offre avec des éleveurs accaparés par les ensilages de maïs sur la Bretagne et le nord du pays. Les engraisseurs spécialisés, qui ont été fortement sollicités pour la rentrée, ont moins de stocks et peinent à assurer leurs rotations, faute d’offre suffisante.
Vous devez vous inscrire pour consulter librement tous les articles.
L’activité commerciale est restée assez fluide tout au long de la semaine avec des tarifs qui restent à des niveaux très élevés dans le domaine des races à viande. Les charolaises R sont valorisées autour de 6,90 €. Les bonnes vaches viandées R+/U– sont échangées autour de 7,00 et 7,10 €. Pour la viande de qualité bouchère U (blondes d’Aquitaine, limousines ou charolaises), le commerce est fluide avec des volumes juste suffisants pour couvrir la demande qui tend néanmoins à se rétracter, face à des tarifs difficiles à répercuter aux consommateurs.
Pour les réformes laitières, les industriels sont toujours à la recherche de vaches, même s’ils œuvrent pour une stabilisation des prix. Les bonnes vaches prim’holsteins viandées sont valorisées autour de 6,20 et 6,25 €. Les prix des normandes ou montbéliardes O=/O+ sont maintenus entre 6,40 et 6,50 €. Les tarifs des vaches médiocres P1 ou P2 légères se situent entre 5,00 et 5,40 €.
Pour accéder à l'ensembles nos offres :