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La faiblesse de l’offre de bovins de boucherie permet de tenir les prix

Le niveau de l’offre est faible puisque les éleveurs sont accaparés par les travaux de fenaison. Dans le secteur de l'aval, le commerce est morose, avec très peu de commandes.

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La faiblesse de l’offre dans les campagnes ne permet pas aux abatteurs de mettre une pression sur les prix. Les tarifs sont maintenus pour les laitières P+ valorisées entre 4,35 et 4,40 €. La majorité des prim’holsteins P= de poids convenable est valorisée entre 4,20 et 4,30 €. Les animaux en manque de viande et de finition restent pénalisés, même si la valorisation reste très convenable, entre 3,30 et 4 €, en fonction du poids. Les prix des normandes et des montbéliardes sont maintenus entre 4,50 et 4,70 € pour les O= et de 4,75 à 4,80 € pour les R.

Dans le secteur allaitant, l’offre est suffisante pour la demande, ce qui entraîne un maintien des prix à 5,35-5,40 € pour les charolaises R=. Les bonnes vaches lourdes U sont vendues entre 5,45 et 5,60 €. Sur les marchés, la demande reste réservée pour les femelles de qualité bouchère, avec moins de besoins dans les grandes métropoles. Mais les tarifs sont maintenus.

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