Les abatteurs de bovins de boucherie veulent retarder la hausse des prix
Si les travaux de saison continuent de limiter les apports dans les abattoirs. Ces derniers vont tenter de repousser ou retarder la progression des prix des laitières, en raison des jours fériés qui bloqueront quelques marchés. La tendance européenne reste positive.
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La mise à l’herbe est effective sur le Grand Ouest, alors que le Nord reste impacté par des excès d’eau, et le centre du pays par des températures basses. Les pièces nobles à griller sont peu demandées, ce qui entraîne un commerce très calme dans les femelles allaitantes. Les prix des vaches charolaises R se maintiennent entre 5,20 et 5,40 € avec une moyenne proche de 5,30 € sur les marchés.
Les tarifs des vaches prim’holsteins progressent légèrement. Les vaches P+/O– sont négociées entre 4,15 et 4,20 € (voire 4,25 € dans les O lourdes dans quelques abattoirs). La majorité des P=3 de plus de 260 kg sont vendues entre 4,00 et 4,15 €.
Dans le jeune bovin, le commerce reste marqué par le déséquilibre tarifaire avec l’Allemagne et la Pologne. Les tarifs se tassent avec des charolais U valorisés entre 5,25 et 5,30 € sur les marchés.
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