Bovins de boucherie Les industriels mettent doucement la pression sur les prix
Malgré les ensilages de maïs qui limitent les sorties, les besoins des abattoirs pour cette fin de mois sont mieux couverts dans les réformes laitières.
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Les bonnes vaches normandes ou montbéliardes lourdes se négocient de 4,95 à 5,00 €. Les prim'holsteins P+/O– se valorisent de 4,60 à 4,65 €. Un tri un peu plus sensible est appliqué dans les vaches de milieu de gamme, où la fourchette tarifaire va de 4,45 à 4,60 € en fonction du poids et de la finition. Les vaches inférieures P1 et 2 se situent entre 3,50 et 4,00 €.
Les transactions sont régulières dans les bonnes femelles blondes d’Aquitaine E de plus de 500 kg. Elles se valorisent à 6,35 € sur le marché de Cholet. Les blondes U de 450-500 kg se vendent de 6,00 à 6,25 €, et de 5,45 à 5,80 € dans les plus légères ou de moindre conformation. Les prix des limousines U se maintiennent entre 5,85 et 6,05 €. Les tarifs des bonnes vaches charolaises U= se maintiennent autour de 5,55 € et les R de plus de 400 kg se négocient de 5,40 à 5,50 €. Les prix des vaches d’entrée de gamme O se situent entre 4,90 et 5,20 €.
Dans les jeunes bovins, la tendance se raffermit depuis la conclusion d’un contingent vers la Turquie. Les tarifs se redressent dans les charolais U qui se négocient entre 3,20 et 3,30 €.
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