Bovins de boucherie Les besoins de la rentrée sont couverts
Les femelles de qualité bouchère restent recherchées, même si les besoins sont mieux couverts. Un meilleur équilibre entre l’offre et la demande va s’installer et débouchera sur une stabilisation des prix à des niveaux attractifs dans les blondes d’Aquitaine, parthenaises et limousines.
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Sur le marché de Cholet, les bonnes vaches blondes d’Aquitaine U se négociaient entre 6,00 et 6,30 €. Les tarifs sont compris entre 6,00 et 6,60 € dans les parthenaises et de 5,85 à 6,00 € pour les limousines.
Dans les charolaises, la commercialisation reste régulière avec une fermeté des prix dans les jeunes vaches viandées. À Saint-Christophe-en-Brionnais ou Cholet, les prix des charolaises U viandées de moins de 6 ans se situent entre 5,50 et 5,70 €/kg net. Ceux des R se sont négociés entre 5,30 et 5,45 €.
Dans les laitières, l’offre tend à progresser. Les transactions de la semaine ont été très fluides avec des tarifs fermes. Les bonnes prim'holsteins lourdes se vendent entre 4,60 et 4,65 €. Les prix des P=3 varient entre 4,50 et 4,60 € en fonction du poids. Les normandes et les montbéliardes viandées se négocient entre 4,80 et 5,00 €, et les plus communes sont au prix des prim’holsteins. Les vaches P–1 et P–2 légères restent pénalisées et se vendent entre 3,40 et 3,90 €.
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