Bovins de boucherie Peu de variations tarifaires
La demande saisonnière fléchit, mais l’impact sur le commerce est pour le moment faible, l’offre de femelles étant en accord avec la demande. Malgré la sécheresse, aucun afflux de marchandise n’est observé.
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L’activité commerciale reste régulière, avec très peu de mouvement tarifaire sur les marchés, même si la tendance semble un peu plus lourde dans le centre du pays. Cet après-midi à Cholet, les bonnes blondes d’Aquitaine de plus de 500 kg de carcasse se sont négociées entre 4,50 et 5 €. Les U plus légères se sont vendues entre 4,15 et 4,40 €. Les échanges sont réguliers avec des tarifs sans changement pour les bonnes charolaises U, qui se maintiennent entre 3,80 et 4,15 €, avec une moyenne proche de 3,95 €. La tendance était un peu plus lourde à la fin de la semaine dans le centre du pays.
Le commerce est fluide dans les allaitantes R de plus de 400 kg, qui se négocient de 3,65 à 3,75 €. Les vaches d’entrée de gamme O+/R– se vendent rapidement entre 3,50 et 3,60 €, mais le tri se montre plus sévère parmi les vaches trop maigres.
En laitières, la tendance est également au maintien des prix des bonnes vaches, avec une offre qui tend à progresser après les ensilages de maïs. Les tarifs sont stables pour les bonnes prim’holstein, avec une fourchette allant de 2,90 à 3 € pour les P+/O–. Le tri est plus sensible pour les vaches de milieu gamme dont le poids et la finition sont plus justes (2 d’état d’engraissement).
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