Bovins de boucherie Plus de laitières offertes dans l’Ouest
La fin de la campagne laitière et les sorties traditionnelles de DFI avant la fin de mars entraînent un accroissement des disponibilités, notamment sur le grand Ouest. Les prix se stabilisent car les besoins sont mieux couverts. Cette situation n’est pas applicable dans le sud du pays, où les volumes restent limités. La concurrence avec la Belgique reste très forte dans l’est du pays, où les tarifs restent soutenus.
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Des écarts de valorisation sont observés entre les régions. Les bonnes prim’holsteins P+/O– se valorisent de 2,80 à 2,85 € et montent de 2,90 à 2,95 € dans l’Est. La grande masse des vaches P= se situe entre 2,60 et 2,75 €. Les tarifs vont de 3,15 à 3,35 € pour les normandes et montbéliardes O=/O+ et montent jusqu’à 3,35 € pour les R–.
Sur les marchés du début de la semaine, l’activité commerciale est assez régulière, avec un maintien des prix des femelles blondes d’Aquitaine, parthenaises ou limousines. La tendance est au maintien des prix des charolaises et des allaitantes de choix secondaire sur le marché de Cholet, malgré une offre mesurée. Les charolaises R restent commercialisées de 3,50 à 3,70 €, avec une moyenne à 3,60 €. Les tarifs des bonnes lourdes se tiennent, avec des U= à 3,90 €.
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