Ovins L’offre ne couvre toujours pas la demande
La production intérieure faible s’ajoute à des disponibilités réduites dans les autres pays de l’Union européenne. Cela renforce le dynamisme commercial sur les marchés. Les éleveurs qui ont contractualisé leur production avec des abatteurs sont tentés de vendre leurs animaux sur les cadrans pour bénéficier des tarifs pratiqués.
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Les éleveurs préparent leurs agneaux pour Pâques (4 avril) ou le ramadan qui suivra (le 13 avril). L’offre en agneaux laitons se renforce, mais elle reste insuffisante pour les besoins d’un marché qui ne devrait pas souffrir d’importations massives en provenance de la Nouvelle-Zélande pour les fêtes.
Les tarifs sont en forte progression à Parthenay ou Moulins-Engilbert. Les agneaux laitons U de moins de 44 kg sont valorisés entre 3,90 à 4,45 €/kg vif, tandis que le prix des E grimpe jusqu’à 4,50-4,60 €/kg vif.
L’activité commerciale est également plus soutenue dans les agnelets à Réquista où les 12 à 14 kg se sont négociés à la hausse à 5,36 €/kg vif.
Le commerce reste favorisé par une offre restreinte. Les brebis U de plus 60 kg se valorisent entre 1,30 à 1,70 €/kg vif, voire 2 €/kg vif dans quelques lots à Parthenay.
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