Bovins de boucherie Cours stables
Sur les marchés de ce début de semaine, la demande en génisses et vaches R est régulière, alors que les disponibilités restent réservées. En réformes laitières, les sorties pour cette fin de mois sont un peu plus fluides, bien qu’elles cachent d’importantes disparités régionales. En jeunes bovins, le commerce est plus calme et les tarifs se stabilisent.
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En allaitant, les charolaises R de moins de 10 ans et de plus de 350 kg se commercialisent de 3,90 à 4,05 € et de 3,80 à 3,85 € dans les plus âgées. Les vaches de races à viande de moindre conformation (O) ou légères se négocient entre 3,40 et 3,70 €. Les tarifs se stabilisent dans les bonnes femelles de cheville, car les achats pour les fêtes de Pâques sont faits.
En réformes laitières, les niveaux tarifaires tendent à se stabiliser, compte tenu d’un meilleur équilibre commercial. Les vaches prim’holsteins P +/O– lourdes se négocient entre 2,93 et 2,97 € selon les régions. Les femelles P = se vendent entre 2,70 et 2,85 € en fonction du poids. Les normandes et les montbéliardes convenables se valorisent dans une fourchette de prix allant de 3,10 à 3,20 € selon les bassins de production.
En jeunes bovins, la demande à l’exportation en direction de la Grèce pour la pâque orthodoxe se tasse en blonds d’Aquitaine. Le commerce est également plus calme et les cours se stabilisent dans les charolais. Les prix des jeunes bovins U= charolais se maintiennent autour de 3,90 € sur le marché de Cholet et ceux des R= s’établissent à 3,78 €.
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