Bovins de boucherie Commerce plus régulier
L’animation est très convenable pour cette reprise. Les magasins réapprovisionnent leurs rayons. Du côté de la restauration collective, les cantines scolaires préparent la rentrée. Les opérateurs s’inquiètent de la hausse des prix qui pourrait pénaliser la consommation de viande à plus ou moins long terme dans la restauration hors domicile.
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Sur les marchés, les échanges sont réguliers. L’offre se retrouve en adéquation avec la demande, que ce soit dans le domaine des femelles de haut de gamme pour la boucherie traditionnelle ou dans les bovins plus standards valorisés en grande distribution. Les tarifs des vaches charolaises R se maintiennent entre 5,10 et 5,25 €. Celles de conformation U partent entre 5,25 et 5,45 €.
Les réformes laitières restent demandées, notamment les bonnes vaches pour faire de la découpe dans les magasins. Le minerai est quant à lui assuré par la grande majorité des vaches P en manque de finition et les avants des autres réformes.
Du côté des prix, les cours des bonnes vaches prim’holsteins P+/O– s’établissent entre 4,75 et 4,85 €. Les femelles P= se négocient entre 4,60 et 4,75 €. Les animaux plus légers ou trop maigres (P–) restent pénalisés et se vendent entre 3,50 et 3,70 €.
En jeunes bovins, le marché est à l’équilibre et les tarifs n’affichent pas de grand changement.
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