Bovins de boucherie L’offre fait toujours défaut
Les industriels peinent toujours à couvrir leurs besoins. En parallèle, pour les éleveurs, les coûts de production sont en passe de connaître une nouvelle envolée.
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L’activité commerciale reste très porteuse pour les réformes laitières même si la progression des prix plus mesurée que ces dernières semaines. Les prim’holsteins P+/O– lourdes se négocient entre 4,15 et 4,25 €/kg. Les prix des vaches P=3 qui se situent entre 3,90 et 4,10 €/kg suivant le poids ou les abattoirs. Cette forte progression des prix met notamment à mal la filière bio.
Sur le marché de Cholet, les transactions sont très fluides pour les parthenaises, blondes d’Aquitaine, limousines ou charolaises. Les tarifs progressent de 0,05 à 0,10 € par semaine. Les blondes d’Aquitaine lourdes se valorisent entre 5,20 et 5,55 €/kg. Les parthenaises de qualité bouchère se vendent de 5,80 €, à 6,50 €/kg. Les charolaises R ont repris entre 0,70 et 1,00 €/kg de carcasse en un an. Elles se négocient régulièrement entre de 4,70 et 4,75 €/kg.
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