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Bovins de boucherie Les disponibilités sont en forte baisse

Face aux faibles disponibilités dans les campagnes et aux livraisons directes dans les abattoirs, l’offre est réduite sur les marchés. La demande est moins soutenue dans la viande de haut de gamme, à l’approche des vacances d’hiver et de la forte réduction d’activité en découlant dans les boucheries urbaines.

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Les tarifs se maintiennent pour les très bonnes femelles blondes d’Aquitaine, parthenaises ou limousines. La faiblesse de l’offre est favorable aux limousines, charolaises ou rouges des prés U, mais également dans l’ensemble des génisses et vaches R (y compris dans les vaches âgées ou plus légères).

 

Les blondes d’Aquitaine lourdes se vendent entre 5,00 et 5,30 €, et de 4,70 et 5,00 € dans les bonnes plus légères. Les tarifs progressent du côté des charolaises, avec des vaches U qui se valorisent entre 4,50 et 4,60 €. Les vaches charolaises R+ lourdes et bien finies partent entre 4,45 et 4,50 €. Les vaches R de plus de 400 kg se vendent entre 4,20 et 4,40 €.

 

Dans le cheptel laitier, l’offre est insuffisante pour les besoins exprimés. Les abatteurs peinent à couvrir leurs besoins. Le prix des prim’holsteins se situe entre 3,60 et 3,70 € dans les P+/O, et de 3,40 à 3,60 € pour la grande majorité des P=. Les bonnes normandes ou montbéliardes se vendent entre 3,75 à 3,90 €, et autour de 3,40 et 3,70 € dans les O en fonction du poids.

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