Bovins de boucherie Commerce plus calme dans les laitières d’entrée de gamme
Dans le domaine des allaitantes, les transactions sont plus calmes. En réformes laitières, face à une meilleure couverture de la demande, les industriels accentuent la pression sur les vaches maigres. En jeunes bovins, l’animation commerciale reste soutenue du fait de faibles disponibilités.
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Sur les marchés, les tarifs des bonnes femelles U se maintiennent. Les vaches blondes d’Aquitaine lourdes se négocient entre 4,90 et 5,20 €. Celles plus légères de 400-450 kg partent entre 4,70 et 4,90 €. Les prix des vaches limousines U se maintiennent entre 4,50 et 5,00 €. Les charolaises R+/U− se valorisent autour de 4,20 €. La fourchette de prix des femelles R de plus de 400 kg oscille entre 4,00 et 4,15 € sur le marché de Cholet. Les vaches d’entrée de gamme R− et O se vendent avec davantage de difficulté, pour des tarifs compris entre 3,60 et 3,80 €.
En réformes laitières, les prix des bonnes vaches prim’holsteins O se maintiennent entre 3,30 et 3,35 € en fonction des abattoirs. La grande majorité des vaches P= se négocient entre 3,15 et 3,20 €. Le tri est plus sévère parmi les femelles P−1 et 2. Ces dernières se commercialisent de 2,25 à 2,55 € en fonction de leur poids.
En jeunes bovins, les cours restent bien orientés sur les marchés allemands et italiens. La tendance reste légèrement positive sur le marché français.
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