Bovins de boucherie Commerce plus compliqué dans le jeune bovin
La demande pour les femelles de qualité bouchère se montre plus réservée, avec un report des achats des grandes métropoles vers les villes de taille moyenne et les campagnes (vacances et télétravail). Les abatteurs voient leurs stocks de pièces nobles à griller remonter. En jeunes bovins, l’activité commerciale se tend, en raison d’une demande italienne assez limitée. À ce stade, les prix se tiennent mais la situation est inquiétante pour le mois de mai.
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Dans les bonnes femelles blondes d’Aquitaine, parthenaises, charolaises ou limousines, le marché est à l’équilibre et les tarifs restent à des niveaux convenables. En allaitantes de choix secondaire, le commerce est normal. À Cholet, les tarifs des charolaises R= sont stables autour de 4,05 €. Les rouges des prés ou les croisées se commercialisent, quant à elles, à 3,85 €.
En réformes laitières, les tarifs n’enregistrent pas de grands changements. Les vaches prim’holsteins viandées se valorisent entre 2,85 et 2,95 €.
En jeunes bovins (JB), la demande intérieure est en grande partie assurée par la population de confession musulmane pour le ramadan. Du côté des exportations, tous les opérateurs attendent avec impatience la date de réouverture des restaurants en Italie et les modalités pour l’ouverture de la saison estivale touristique.
Sur le marché de Cholet, les tarifs des JB se maintiennent avec davantage de difficultés. Les mâles charolais U= se valorisent autour de 3,90 € et les sujets R= se négocient à 3,80 €.
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