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Bovins de boucherie L’offre couvre mieux la demande en réformes laitières

Les modalités du confinement en cours dans les Hauts-de-France, Paris ou les Alpes-Maritimes, ne sont pas aussi strictes qu’il y a un an, et n’engendrent pas le même afflux dans les magasins pour faire des achats de sécurité dans les grandes et moyennes surfaces.

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L’activité commerciale est assez convenable cet après-midi sur le marché de Cholet. Les acheteurs ont des besoins, mais les tarifs tendent à se stabiliser pour les femelles de qualité bouchère, avec une demande facilement couverte avec les concours d’animaux de haute valeur bouchère.

 

Les tarifs des blondes d’Aquitaine U de plus de 500 kg sont compris entre 5 et 5,25 €. Les échanges sont également réguliers pour les bonnes limousines, valorisées entre 4,35 et 4,70 €. Le prix des charolaises U se maintient entre 4,12 et 4,20 €. Il oscille entre 3,90 et 4,10 € pour les charolaises R de moins de 10 ans et varie de 3,75 à 3,90 € pour les plus de 10 ans.

 

Le commerce des réformes laitières reste fluide, mais l’offre couvre mieux la demande. La progression est plus modeste dans les prim’holsteins P+/O– qui se valorisent entre 2,90 et 2,97 € en direct dans les abattoirs. Les vaches P=3 se situent entre 2,70 et 2,85 €, suivant le poids ou les abattoirs.

 

En ce qui concerne le jeune bovin, le commerce est nettement plus calme pour les sujets de moins d’un an. Les tarifs des charolais se tiennent, avec des volumes exportés vers l’Italie moins soutenus que ces dernières années avant les fêtes pascales.

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