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Bovins de boucherie Le confinement profite à la viande française

La réduction des tablées à Noël profite à la viande bovine française grâce à un piéçage qui peut facilement s’adapter au nombre de convives.

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Alors que les grosses volailles (chapons, dindes, poulardes) sont pénalisées par la réduction des tablées à Noël, la viande bovine française enregistre de belles commandes avec un piéçage qui peut facilement s’adapter au nombre de convives.

 

L’activité commerciale ne faiblit pas sur les marchés, avec des échanges assez réguliers et des tarifs stables sur les bonnes femelles de qualité bouchère. La demande se tasse pour les charolaises de milieu de gamme et les allaitantes de choix secondaire. La gamme tarifaire reste ouverte, avec des charolaises R= à 4 € dans certains abattoirs et à 3,80 € dans d’autres.

Dynamique pour les réformes laitières

Du côté des réformes laitières, l’offre reste dynamique en cette fin d’année mais les tarifs se maintiennent. Les prim’holsteins P+/O– se situent entre 2,70 et 2,75 €. Les P=3 convenables partent de 2,50 à 2,75 €. Les normandes et montbéliardes O=/O+ sont vendues de 2,90 à 3,05 €. Les vaches maigres restent faiblement valorisées, entre 1,50 et 1,80 € pour les P–1 et 1,80 et 2,00 € pour les P–2.

 

Chez les jeunes bovins, la demande reste soutenue sur l’Allemagne, mais les expéditions vers l’Italie et la Grèce se tassent. Les tarifs sont sans changement sur ces marchés où la concurrence entre acheteurs est très faible. Les charolais U= se négocient autour de 3,65 €. Les blonds d’Aquitaine E de moins d’un an restent valorisés entre 4,30 et 4,55 €/kg.

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