Veaux La demande est bonne en veaux de boucherie
La production hollandaise est en baisse face à une politique drastique (mais contestée) sur les rejets azotés. Les fêtes de Pâques se rapprochant, la demande en viande de veau est plutôt bonne en France, comme aux Pays-Bas et en Allemagne. Les tarifs se maintiennent sans difficulté, et le commerce est assez fluide.
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Les tarifs se maintiennent sans trop de difficultés au regard du tri qui est pratiqué dans les lots livrés par les négociants.
Sur les marchés, les veaux prim’holsteins se valorisent entre 100 et 130 € dans les 45-50 kg et entre 130 et 15 € dans les 50-55 kg. Les plus lourds sont vendus entre 150 et 160 €. Les prix se maintiennent dans les veaux normands. Les sujets destinés à l’intégration sont valorisés au même prix que les noirs, et de 150 à 180 € dans les meilleurs pour la production de jeunes bovins.
En montbéliards, la commercialisation reste régulière avec des tarifs qui se maintiennent sans trop de difficulté. Ils sont vendus de 150 à 200 € dans les légers standards, de 200 à 250 € dans les convenables, et de 270 à 300 € dans les bons lots. Les croisés laitiers se commercialisent sur des tarifs similaires à ceux des montbéliards (pour les convenables) et des laitiers (pour les ordinaires).
Dans les veaux allaitants, les éleveurs tendent à garder leurs animaux pour la production de broutards, très bien valorisés actuellement. Cela permet de tenir les prix avec des charolais ou des limousins de gamme intermédiaire (légers). Ils sont compris entre 300 et 430 €. Les très bons limousins se négocient de 500 à 580 € sur les marchés de Lezay, des Hérolles ou d’Ussel.
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