Veaux Marché équilibré
L’activité commerciale reste tendue dans le veau de boucherie, avec des températures qui ont fortement pénalisé les ventes. Cela entraîne quelques retards d’enlèvement qui, compte tenu du prix de la poudre de lait, accentue la perte pour les intégrateurs.
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Dans les veaux laitiers, la réduction de l’offre permet un commerce régulier et un maintien des prix dans les veaux holsteins, normands, montbéliards ou abondances. Sur le marché de Lezay, les veaux Frisons de 50-60 kg sont restés stables pour se commercialiser entre 140 et 165 €, voire 170 à 180 € pour les plus lourds.
La tendance est au maintien des prix pour les veaux normands de Sourdeval avec des sujets viandés valorisés de 170 à 220 € dans les meilleurs. En montbéliards, la commercialisation reste régulière sur Bourg-en-Bresse où les tarifs se maintiennent sans trop de difficulté, soit de 200 à 250 € dans le standard, et de 250 à 270 € dans les bons lots. Le commerce demeure sélectif dans les croisés laitiers qui se commercialisent néanmoins sur des bases stables et correspondantes aux montbéliards dans les convenables ou des laitiers dans les ordinaires.
Dans les veaux allaitants, les disponibilités progressent avec les vêlages de printemps et couvrent les besoins exprimés. Le commerce est plus sélectif et si les tarifs sont reconduits dans les charolais ou limousins de qualité, la vente se montre plus sélective dans la gamme intermédiaire. Les veaux légers sont compris entre 250 et 350 €, mais la très bonne marchandise se négocie encore de 450 à 550 € sur le marché. Dans les croisés de race à viande ou mixtes, les besoins restent ciblés sur la qualité avec des tarifs stables sur les marchés du Sud-Est.
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