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Veaux Le commerce reste tendu

L’offre en veaux progresse sur les marchés. Elle suffit à combler les besoins des opérateurs. Les tarifs sont reconduits pour cette semaine, mais des contingents commencent à être imposés aux apporteurs.

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Ce matin à Lezay, les volumes de veaux étaient importants car les négociants ont anticipé et regroupé leur ramassage en prévision du 15 août. La vente est sélective. La majorité des prim’holsteins de 45 à 55 kg se sont négociés entre 80 et 130 €/tête. Les plus gros se sont vendus entre 140 et 150 €/tête. Les veaux de moins de 45 kg se négocient en dessous de 50 €/tête.

 

Les normands ne sont pas épargnés par la pression. Surtout les « ordinaires », souvent écartés des lots par les gros intégrateurs. À Sourdeval, les sujets convenables se sont commercialisés entre 80 et 130 €/tête. Les meilleurs se sont négociés entre 170 et 190 €/tête.

 

Les prix des bons montbéliards se stabilisent sur les marchés de Saint-Etienne ou de Bourg-en-Bresse. Les plus légers s’affichent en baisse. Les tarifs vont de 60 à 140 €/tête pour les légers. Ceux de 50 à 65 kg se vendent de 170 à 230 €/tête, tandis que les meilleurs partent entre 250 et 280 €/tête.

 

Le commerce est tendu en croisés laitiers également. La gamme tarifaire est large entre les « taupes » ou gris ordinaires et les bons croisés blanc bleu. Les premiers se valorisent de 200 à 250 €/tête et les seconds entre 200 et 300 € s’ils sont de conformation ordinaire. Les prix atteignent 500 € pour les meilleurs.

 

En allaitants, le commerce est plus sélectif aussi. Les prix des très bons limousins, charolais ou croisés jaunes restent stables, car ce type de marchandise est peu offert. Les veaux de conformation plus commune ou plus légers sont plus difficiles à placer et leurs tarifs se tassent, comme ceux des veaux laitiers.

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