En ovins, l’offre couvre juste la demande
L’offre mesurée sur le marché français, couplée à une faible pression de l’importation, conduit à une bonne orientation du marché. L’activité commerciale reste pourtant peu soutenue dans le secteur de l'aval, en raison du prix élevé de l’agneau sur les étals. L’offre en lacaunes demeure faible pour influencer le marché. Les abatteurs s’inquiètent pour la seconde moitié du mois car la consommation sera encore plus ralentie.
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L’animation commerciale est assez soutenue sur les marchés et les cadrans avec une grande fermeté des prix. À Parthenay, les très bons agneaux se sont valorisés entre 4,90 et 5,00 €/kg vif. Les agneaux U de moins de 44 kg se négocient entre 4,20 et 4,60 €/kg vif. Cette fermeté est également observée à Châteaumeillant ou Sancoins avec une moyenne de prix proche de 4,35 €/kg vif pour les U et de 4,00 €/kg vif pour les R.
En brebis, l’activité commerciale est plus régulière, avec des écarts de valorisation plus marqués entre les bonnes brebis dont les prix se maintiennent entre 1,60 à 1,80 €/kg vif et les ordinaires entre 1,10 et 1,30 €/kg vif.
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