En ovins, la modestie de l’offre facilite le commerce
Les ventes dans les magasins sont atones en cette fin de mois. Les abattoirs ont peu de besoins et sont peu concurrencés par l’importation. Au Royaume-Uni ou en Espagne, les tarifs restent en effet soutenus par la modestie de l’offre.
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Les acheteurs doivent toujours composer avec une offre peu abondante sur les marchés français. Le commerce est fluide. Les tarifs sont fermes dans les bons agneaux gras et tondus. Le placement est plus sélectif dans la marchandise de second choix ou dans les agneaux lourds.
A Parthenay et Châteaumeillant, les agneaux U de moins de 44 kg se négocient entre 4,00 et 4,50 €/kg vif. À Saugues et Réquista, ils sont entre 4,40 et 4,80 €/kg vif. Les agneaux R se vendent entre 3,60 et 3,80 €/kg vif et les plus de 44 kg, entre 3,30 et 3,90 €/kg vif en fonction de la qualité.
En brebis, la demande se rétracte, ce qui engendre un commerce plus sélectif avec un léger repli des cours. Les brebis de bonne conformation se vendent entre 1,45 à 1,80 €/kg vif. La vente est plus sélective dans les ordinaires, avec des prix compris entre 0,90 et 1,30 €/kg vif.
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