Ovins Le commerce est plus actif
Les besoins pour les zones touristiques sont plus réguliers, avec une préférence pour les agneaux sous signe de qualité ou IGP. Ils compensent en partie les fermetures des boucheries traditionnelles des grandes métropoles. Les opérateurs gonflent leurs achats, pour anticiper le faible approvisionnement de la semaine du 15 août, et pour préparer l’Aïd-El-Kébir, qui se déroulera le 11 août.
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Sur les marchés au cadran de Châteaumeillant et de Moulins-Engilbert, l’offre saisonnière reste abondante mais la qualité n’est pas toujours présente car certains agneaux ont souffert de la chaleur et manquent de finition. Les écarts de valorisation entre les agneaux de qualité et finis et les autres sont parfois importants. La demande est active dans les mâles lourds. Ceux de 44 à 50 kg se vendent de 2,60 à 3,10 €/kg vif.
Sur le marché de Parthenay, l’écoulement est plus régulier même si les cours n’évoluent pas. Les très bons agneaux U de 38/44 kg se commercialisent entre 2,80 à 3,10 €/kg vif. Le placement est en revanche très calme dans les agneaux trop gras ou ordinaires.
En brebis, les transactions sont normales pour la saison pour les femelles bien conformées de plus de 60 kg avec une demande pour l’Italie ou le sud du pays. Les tarifs oscillent de 1,10 à 1,50 €/kg vif à Parthenay.
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