Vague d’achats de blé sur la scène internationale
La Chine fait partie des principaux acheteurs, notamment de blé américain.
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« L’arrivée imminente des trois premiers bateaux de blé à charger pour la Chine sur les principaux ports céréaliers français rassure quelque peu des opérateurs et va permettre de soulager une situation de saturation particulièrement marquée des capacités de stockage », indique le cabinet Agritel.
Ainsi, le mercredi 6 décembre 2023, la tonne de blé a clôturé sur Euronext à 220 euros (+4,25 euros par rapport à la clôture précédente) sur l’échéance de décembre et à 232 euros (+2,25 euros) sur celle de mars. La tonne de maïs a clôturé à 202,50 euros (+0,25 euro) sur l’échéance de mars et à 208,75 euros (stable) sur l’échéance de juin.
« Les ventes privées de blé américain à la Chine ont atteint leur plus haut niveau depuis quatre mois. Il s’agit de la plus importante vague d’achats chinois depuis près d’une décennie », signale de son côté Sitagri. En effet, selon le cabinet, l’USDA a confirmé la réservation de plus d’un million de tonnes de blé à la Chine. La tendance est donc haussière pour le blé américain : « Le mouvement s’est néanmoins essoufflé à la fin de la séance dans le sillage baissier du maïs et du soja », nuance tout de même Agritel.
Toujours selon Agritel, l’Égypte revient également à ses achats de blé, de même que l’Algérie avec 450 000 t à 500 000 t de blé dur acheté au début de la semaine.
Ce jeudi 7 décembre 2023, vers 11h00 sur Euronext, la tonne de blé s’affichait à 220 euros (+4,25 euros) sur l’échéance de décembre et à 232 euros (stable) sur celle de mars. La tonne de maïs s’échangeait, quant à elle, à 202,25 euros (–0,25 euro) sur l’échéance de mars et à 208,75 euros (stable) sur celle de juin.
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