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Les bons broutards légers restent recherchés

Les disponibilités de broutards reculent avec le jour férié du lundi de Pâques, mais l’offre se montre néanmoins suffisante pour répondre à une demande italienne en repli. Certains engraisseurs privilégient l’achat de broutards d’origine croate, slovène et tchèque, jugés plus compétitifs en termes de rapport qualité/prix.

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L’activité de la semaine reste très convenable sur les marchés et les cadrans du charolais, alors que la tendance est plus lourde du côté du limousin. Les tarifs sont stabilisés entre 4,80 et 5,20 €/kg vif pour les charolais lourds (+450 kg). L’activité commerciale reste en revanche très fluide dans les autres catégories face à des volumes disponibles peu soutenus.

La qualité de l’offre avec les premières sorties de broutards herbés d’automne permet un écoulement encore très régulier. Les tarifs restent très attractifs pour les charolais U de 300-350 kg valorisés autour de 5,50 € sur Moulins-Engilbert, tandis que les prix des limousins de même poids se tassent autour de 5,45 € à Ussel ou à Mauriac.

Le commerce reste très fluide concernant les sujets plus légers, pour la mise en place sur le territoire français, l’engraissement ou la repousse. Les charolais U de 250-300 kg sont négociés entre 1 500 et 1 750 € à Cholet ou Châteaubriant et autour de 6,00 €/kg vif à Moulins-Engilbert. Les croisés ordinaires de 250-300 kg sont vendus entre 1 350 et 1 550 € à Châteaubriant, tandis qu’à Mauriac, les prix des croisés U de 300-350 kg se maintiennent autour de 5,18 et 4,95 €/kg pour les R.

Pour les femelles, la demande italienne est moins soutenue depuis quelques semaines. Cela engendre un tassement des prix pour les bonnes charolaises de 300-350 kg valorisées entre 4,55 et 4,65 €/kg et les limousines vendues entre 4,70 et 4,80 €/kg.

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