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Les bons broutards restent recherchés

La demande italienne reste présente. La concurrence est rude, avec des volumes disponibles peu soutenus. Il y a un an, les premiers broutards d’herbe faisaient leur apparition. Ce n’est pas le cas cette année, puisqu’ils n’ont toujours pas été mis en herbage.

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Les transactions restent très fluides. Les tarifs sont maintenus à des niveaux élevés dans les charolais, limousins ou blonds d’Aquitaine. A Moulins-Engilbert, les charolais U de 350/450 kg ont été valorisés entre 3,75 et 4,10 € et les prix des limousins de même poids vont de 3,90 à 4,10 € à Ussel.

Le commerce reste également actif dans les sujets plus légers, pour la mise en place sur le territoire. Les charolais U de 300/350 kg sont négociés entre 1 200 et 1 350 € à Cholet ou Châteaubriant et les tarifs des blonds d’Aquitaine vont de 1400 à 1600 €. En revanche, l’offre en animaux de second choix est plus grande, ce qui entraîne un commerce plus sélectif et des tarifs difficilement reconduits. Les tarifs des croisés U de 300/350 kg se situent autour de 3,60 € à Mauriac.

À ces tarifs, de nombreux opérateurs sont inquiets sur la rentabilité de ces productions.

Dans les femelles, la demande italienne ne faiblit pas, ce qui maintient des tarifs attractifs dans les bonnes charolaises ou limousines vaccinées de 300/350 kg, valorisées entre 3,50 et 3,60 €.

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