Broutards Des ventes plus régulières, favorisées par la faiblesse de l’offre
L’activité commerciale se montre un peu plus régulière. Même si les besoins ne sont pas très importants, les acheteurs sont encore présents sur les marchés. La modestie de l’offre, notamment sur les cadrans, assure un écoulement assez régulier de la marchandise. Les tarifs sont cependant moins attractifs que le mois dernier dans les bons sujets herbés ou pour les broutards de qualité.
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Les tarifs sont stables dans les broutards charolais de 350 à 400 kg de conformation U. Ils se négocient entre 3,45 et 3,55 € sur Moulins-Engilbert. Les limousins U de 350-400 kg s’écoulent plus facilement, à des prix fermes, de 3,55 à 3,70 € à Ussel. Les transactions restent très compliquées et sélectives dans les animaux de second choix, peu recherchés par les acheteurs.
La demande de laitonnes demeure présente. Les bonnes charolaises vaccinées pour l’exportation, ou indemnes d’IBR pour l’engraissement en France, se vendent facilement. Les bonnes charolaises de 300-350 kg recherchées pour l’Italie se négocient autour de 3,34 € à Moulins-Engilbert. Le placement reste très calme pour celles de choix ordinaire, destinées à l’Espagne.
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