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Broutards Tendance ferme en sujets légers

Même si l’Italie, l’Espagne ou l’Allemagne restent de loin nos principaux clients, la multiplication de l’exportation vers les pays du pourtour méditerranéen offre un très large panel de débouchés à nos broutards.

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La condition incontournable pour pouvoir bénéficier des marchés à l’exportation reste une vaccination FCO à 60 jours. Le dernier marché ouvert est Israël. Pour l’instant, les Israéliens cherchent des bovins légers de moins de 12 mois : mâles de 300 à 350 kg ainsi que quelques femelles de 300 à 320 kg.

 

Le commerce est fluide faute de disponibilité suffisante pour couvrir les besoins, notamment en mâles légers de moins de 350 kg. La demande pour la repousse est tonique, mais les engraisseurs peinent à suivre l’accroissement des prix. Les tarifs sont fermes en mâles charolais de 250 à 300 kg. Ils affichent près de 3 € pour les sujets U, et de 2,80 €/kg pour les R.

 

L’offre de broutards lourds est modeste, mais les tarifs se stabilisent. La demande italienne cible des animaux de 350 à 400 kg, pour limiter les mises en place correspondant aux sorties d’été. Les cours des U sont autour de 2,74 €/kg, ceux des R autour de 2,66 €/kg. Les plus lourds partent vers l’Algérie.

 

Le placement des femelles est régulier, avec un maintien des prix en charolaises et en limousines de qualité, vaccinées pour l’exportation. Les échanges restent calmes en sujets ordinaires, convenant au marché espagnol.

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