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Broutards L’offre limitée atténue la pression tarifaire

Face aux tensions sur le marché du jeune bovin, les acheteurs français et les opérateurs à l’export cherchent à exercer une pression sur les prix des broutards et des taurillons. Les disponibilités réduites sur le marché intérieur limitent néanmoins ses effets.

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L’ambiance commerciale se montre assez pesante. Sur les marchés, les tarifs ne restent stables que dans la très bonne marchandise. Les broutards charolais de 350 à 450 kg U se maintiennent à 2,70 €/kg vif de moyenne avec plus de difficulté à Moulins-Engilbert ou à Châteaumeillant.

 

La demande pour les limousins est limitée. Les sujets U de 350 à 400 kg se négocient autour de 2,77 € à Ussel. Parmi les animaux plus légers, la tendance est à la baisse. Les limousins U de 300 à 350 kg se vendent à 2,84 €/kg vif à Agen.

 

Sur les marchés de Cholet ou de Châteaubriant, les volumes sont réduits et la qualité est moindre. Le commerce se montre sélectif et les tarifs sont orientés à la baisse. Les croisés ou les rouges des Prés de 250 à 300 kg se valorisent entre 650 et 750 €.

 

Parmi les femelles, l’offre modeste facilite les échanges dans les bonnes laitonnes charolaises préparées pour l’Italie, et celles pour la repousse. Les tarifs des charolaises de 300 à 350 kg se maintiennent autour de 2,65 €/kg vif.

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