Broutards Le commerce reste fluide dans les bons charolais
Le recul de la production de broutards se ressent sur le marché. Sur les marchés exports, la demande reste assez soutenue. Les envois vers le Maghreb permettent de compléter la demande italienne et compensent le recul d’activité du marché espagnol.
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Sur l’ensemble des marchés et des cadrans, le commerce demeure régulier. Les broutards vaccinés contre la FCO 4/8 depuis plus de 60 jours sont recherchés et correctement valorisés. Les broutards charolais et limousins de 300 à 450 kg de conformation U se négocient autour de 2,75 €. À Moulins-Engilbert, les taurillons de 450 à 500 kg se sont vendus autour de 2,52 €.
Sur l’Ouest, l’animation commerciale est un peu plus calme. Les acheteurs souhaitent revenir à des niveaux de prix inférieurs pour l’engraissement sur le marché intérieur. A Cholet ou à Châteaubriant, les broutards charolais de 250 à 300 kg se négocient entre 850 et 900 €. La tension tarifaire est plus sensible concernant les sujets de choix secondaire non vaccinés. Ces derniers se valorisent entre 700 et 800 €.
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