Broutards Le marché reste porteur
Après les perturbations du week-end de la Pentecôte, les sorties de cette semaine sont modestes et tout juste suffisantes pour servir les clients importateurs. Sur l’hexagone, les tarifs pratiqués restent trop élevés pour les engraisseurs, au regard du prix de la viande. La situation est également compliquée pour les petits ateliers italiens, qui souffrent de la concurrence des viandes importées.
Vous devez vous inscrire pour consulter librement tous les articles.
Dans la marchandise correctement préparée pour l’export, le commerce est fluide sur l’ensemble des cadrans. La grande majorité des broutards et des taurillons charolais ou limousins de 350 à 450 kg U de conformation se négocie entre 2,75 € et 2,80 €/kg vif.
Dans les broutards destinés au marché espagnol, l’activité commerciale est nettement moins soutenue que l’année passée. Le climat est plus tendu sur le marché de Châteaubriant, où les bêtes sont majoritairement envoyées en Espagne.
Dans les femelles, le commerce est régulier parmi les bonnes laitonnes limousines ou charolaises préparées pour l’Italie. Les animaux de race charolaise de 350 à 400 kg se sont vendus autour de 2,60 €/kg vif sur Moulins-Engilbert. Les limousines à Ussel se sont valorisées en moyenne 2,70 €.
[summary id = "10041"]
Pour accéder à l'ensembles nos offres :