Broutards Marché fluide dans les bons mâles d’herbe
Compte tenu des travaux saisonniers, les volumes disponibles à la vente restent modestes. Le commerce est fluide et les tarifs pratiqués dans les broutards lourds ou les taurillons d’herbe sont toujours attractifs pour les éleveurs, à condition que les animaux soient en règle avec la vaccination.
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Les bons broutards et taurillons charolais de 350 à 400 kg sont vendus à 2,90 € à Moulins-Engilbert, et à 2,75 € à Châteaumeillant. Les taurillons de 350 à 450 kg se maintiennent autour de 2,70 €. Pour les sujets dépassant les 450 kg, le marché algérien reste fermé. Néanmoins, la faiblesse de l’offre limite les effets. Ces derniers se valorisent en moyenne 2,55 €.
Dans les limousins lourds destinés à l’Italie, les transactions sont fluides. Les bêtes plus légères pour l’Espagne ont davantage de difficultés à se vendre. Les sujets de 300 à 350 kg se situent autour de 2,90 €. Les broutards de 350 à 400 kg U de conformation se négocient à 2,84 € de moyenne sur le cadran d’Ussel.
Parmi les femelles, la demande est soutenue dans les bonnes laitonnes herbées, que ce soit pour l’export sur l’Italie ou pour la France. Les charolaises de 12 à 18 mois de 350 à 400 kg se valorisent autour de 2,65 €/kg vif. Les femelles communes non vaccinées transitent vers l’Espagne à de faibles tarifs, notamment dans les légères.
Du côté des pays tiers, quelques mouvements à l’export sont observés ou en préparation vers l’Algérie et le Maroc.
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