Broutards Tendance plus lourde
Les animaux sont vendus plus précocement en raison de la sécheresse et du manque de fourrages. L’augmentation de l’offre pèse sur la tendance, sauf dans les lourds dont le nombre est plus en adéquation avec la demande.
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La baisse des prix est plus sensible dans les charolais. Les limousins et les blonds d’Aquitaine restent demandés. Les mouvements vers l’Espagne sont plus modestes, car les ateliers sont « chargés ».
L’activité commerciale reste en revanche assez régulière sur le Grand Ouest où l’on observe une demande régionale plus fréquente après les ensilages de maïs.
Les tarifs se stabilisent après la baisse de la semaine passée sur les cadrans du centre où l’ambiance était assez lourde. Il y a peu de changement également sur les marchés de Cholet et Châteaubriant, où l’écoulement était assez fluide avec des bons lots de charolais de 250 à 300 kg qui se sont vendus autour de 850 euros (3,09 €/kg vif) et ceux de 300-350 kg à 930 euros (2,86 €/kg vif).
À Moulins-Engilbert ou Châteaumeillant, les mâles charolais U de 350 à 450 kg se valorisent autour de 2,70 € euros/kg vif, alors que ceux de 400 à 450 se maintiennent à 2,65 €/kg vif. Dans les limousins, la demande reste soutenue dans les bons lots de 350 à 450 kg vaccinés. Les tarifs sont en progression à 3,13 €/kg vif de moyenne à Ussel.
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