Broutards L’offre modeste permet le maintien des prix
Le commerce reste assez régulier sur les marchés, avec des volumes réduits du fait des moissons. Les tarifs sont plus discutés.
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La demande de broutards stagne en Italie, car la chaleur ralentit la consommation de viande, avec un impact sur les cours. De plus, les prix élevés des animaux français n’incitent pas les petits engraisseurs italiens à l’achat. Ces derniers préfèrent donc attendre une progression des sorties sur la France. La situation est similaire pour les engraisseurs français, qui sont en outre confrontés à des tarifs de la viande inférieurs de 0,30 à 0,40 €/kg aux prix transalpins.
Le commerce reste assez régulier sur les marchés, avec des volumes réduits du fait des moissons. La tendance semble néanmoins au plafonnement des prix dans les gros mâles herbés de 380-450 kg destinés au marché italien. Les broutards charolais et limousins de 350-400 kg U de conformation se négocient entre 2,90 et 2,95 €/kg, et de 2,74 à 2,90 € pour les taurillons.
Sur l’Ouest, la tendance est également plus calme, même si les acheteurs ne peuvent peser sur les prix comme ils le souhaiteraient pour accroître les mises en place régionales. Sur Châteaubriant, la tendance est légèrement baissière dans les bons charolais, limousins ou blonds d’Aquitaine.
Les broutards Charolais de 250-300 kg se négocient entre 860 et 960 € sur les marchés de l’Ouest. Les transactions sont sélectives, avec des tarifs discutés, dans les mâles plus communs ou non-vaccinés, avec des tarifs compris entre 700 et 850 € dans les R en fonction du poids.
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