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L’offre de bovins de boucherie est réduite

Malgré un commerce prudent de fin de mois, le long week-end ensoleillé de l’Ascension a fait ressortir les barbecues, avec une reprise des ventes de brochettes et de viande bovine marinée dans les GMS et les boucheries.

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L’animation commerciale reste portée par le manque de marchandise. Les tarifs des bonnes femelles parthenaises sont très fermes. Ils approchent des 7,50 €/kg de carcasse sur le marché de Cholet. Les blondes d’Aquitaine lourdes se valorisent entre 6,60 et 6,80 €.

Les prix des limousines et charolaises U vont de 6,50 à 6,70 €. Les vaches charolaises ou rouges des prés R se vendent très facilement entre 6,20 et 6,45 €. Les vaches d’entrée de gamme se sont rapidement négociées entre 6,00 € et 6,15 €.

Du côté des vaches laitières de réforme, après le coup de frein donné par les abattoirs, le marché reprend doucement ses droits. La progression des prix est toutefois plus mesurée.

Les prim’holsteins de milieu de gamme sont prisées et négociées entre 5,60 et 5,80 €. Les vaches P+/O- se vendent entre 5,80 et 5,85 €, voire quelques centimes de plus chez certains abatteurs. Les vaches mixtes s’échangent entre 5,70 et 6,20 € en fonction du poids.

Le commerce des jeunes bovins de races à viande reste fluide, avec des charolais U= qui se valorisent autour de 5,45 € sur les marchés.

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