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L’offre de vaches laitières de réforme reste largement suffisante.

Les disponibilités de réformes laitières diminuent légèrement, mais elle demeure suffisante face aux besoins exprimés par les abattoirs à la veille des vacances de Noël.

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Les abatteurs repoussent des animaux et planifient leurs approvisionnements pour couvrir leurs besoins entre les fêtes. La tendance est au maintien des prix. Les bonnes prim’holsteins P+/O– se vendent entre 4,15 et 4,20 €, voire 4,25 € à certains abattoirs. Les prix des vaches P= 2 et 3 oscillent entre 3,90 et 4,10 € selon leurs poids.

Quant aux mauvaises vaches P–1 ou 2 (légères), leur valorisation reste très faible et comprise entre 2,70 et 3,30 €. Les cours des bonnes normandes et montbéliardes O se maintiennent entre 4,40 et 4,60 €. Quant aux ordinaires et maigres, elles se négocient au prix des laitières.

Dans les races à viande, si les pièces nobles (filet, faux-filet ou viande à fondue) sont recherchées pour les fêtes de fin d’année, les arrières ont beaucoup plus de mal à trouver preneur, avec des stocks de catégoriel qui gonflent. Le commerce est aussi très calme pour les avants, à l’approche des vacances, mais les industriels préparent déjà la rentrée que ce soit en surgelé ou sous-vide.

Le commerce des bonnes femelles de qualité bouchère est normal avec des tarifs qui ne montrent pas d’évolution. Les prix sont compris entre 6,20 et 6,50 € pour les blondes d’Aquitaine. Ceux des limousines U se maintiennent entre 5,90 et 6,20 € et les ceux des charolaises U entre 5,45 et 5,60 €. La gamme tarifaire des charolaises R= est inchangée, autour de 5,40 €.

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