Les industriels mettent la pression sur les prix des vaches laitières
Les ventes de réformes laitières restent conséquentes en raison d'un démarrage tardif des ensilages de maïs. La baisse des prix entamée la semaine dernière n’a fait que renforcer les sorties chez les éleveurs qui avaient des animaux en finition.
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Les baisses de prix sont plus marquées que la semaine dernière. Les bonnes vaches normandes ou lontbéliardes lourdes sont négociées de 4,70 à 4,80 €. Les prim’holstein P+/O– sont vendues de 4,40 à 4,45 € en fonction des outils industriels, avec un tri plus sensible dans les vaches de milieux de gamme où la fourchette tarifaire va de 4,30 à 4,40 € en fonction du poids et de la finition. Les prix des vaches P1 et P2 baissent sérieusement entre 3,20 et 3,40 €.
Les transactions restent régulières dans les bonnes femelles blondes d’Aquitaine E de plus de 500 kg, valorisées à 6,55 € sur le marché de Cholet. Les blondes U de 450-500 kg sont vendues de 6,00 à 6,45 € et de 5,45 à 5,90 € pour les plus légères ou de moindres conformations. Les tarifs des limousines U sont maintenus entre 5,90 et 6,20 €. Les prix des bonnes vaches charolaises U= sont maintenus autour de 5,60 €, et l R de plus de 400 kg sont négociées de 5,35 à 5,50 €. Les prix des vaches d’entrée de gamme de conformation O se tassent entre 4,80 et 5,20 €.
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