L’offre de bovins de boucherie est suffisante
Les abatteurs ont très peu de besoins, et des stocks dans leurs frigos. L’été est attendu pour relancer les ventes de brochettes et pièces à griller.
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Les industriels n’ont pas de gros besoins et restent confrontés à de faibles disponibilités de réformes laitières. Cela assure un certain équilibre commercial. Les bonnes vaches prim’holsteins P+/O– sont négociées entre 4,35 et 4,40 €. La majorité des P=2 ou 3 de poids convenable est vendue entre 4,20 et 4,35 €. Les prix des vaches P– vont de 3,50 à 4,00 € en fonction du poids et de la finition. Les tarifs des bonnes normandes et les montbéliardes O+ se maintiennent de 4,70 à 4,80 €. Ces vaches sont valorisées entre 4,40 et 4,60 € pour les conformations O en fonction de l’état d’engraissement.
Juillet débute également sur un commerce également très calme dans le secteur allaitant. Sur les marchés, l’offre est peu abondante. La tendance est légèrement baissière pour les charolaises R, négociées entre 5,25 et 5,45 €. Les jeunes charolaises lourdes U ne trouvent pas encore de débouchés suffisants sur le sud du pays. Les blondes d’Aquitaine, limousines, aubracs et parthenaises souffrent de la faible activité des boucheries parisiennes et des grandes métropoles. Les tarifs pratiqués sont sans changement face à des disponibilités mesurées.
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