Moins de besoins de bovins de boucherie pour la fin du mois
Les ventes dans les magasins sont en repli, notamment dans la capitale, et le resteront sur la fin du mois, voire jusqu’au début de la saison estivale le 15 juillet. La grande question sera le positionnement de la viande haut de gamme pendant les Jeux olympiques.
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La modestie de l’offre permet la reconduction des prix des femelles parthenaises, blondes d’Aquitaine ou limousines. Sur le marché de Cholet, les bonnes parthenaises se valorisent entre 6,50 et 7,00 €, les blondes d’Aquitaine U progressent entre 6,00 et 6,40 voire 6,55 € dans les E, et les limousines U entre 5,80 et 6,20 €.
L’écoulement est régulier et les tarifs reconduits pour les charolaises R qui se négocient entre 5,30 et 5,45 €.
La tendance est également à la stabilisation des prix pour les réformes laitières malgré des volumes contenus arrivant dans les abattoirs. Le prix des bonnes vaches prim’holsteins se maintient entre 4,30 et 4,35 €, voire 4,40 € dans quelques abattoirs. La majorité des P = de poids convenables se négocient entre 4,10 € et 4,25 € en fonction du poids et de la finition.
Les normandes et les montbéliardes se vendent de 4,70 € et à 4,80 € pour les très bonnes R. Elles se valorisent entre 4,35 et 4,60 € pour les O.
La tendance est aussi au maintien des prix des jeunes bovins, avec de nombreux animaux qui ont été abattus pour l’Aïd-el-Kébir. Les abattages rituels sont à la baisse pour cette semaine, alors que le placement à l’exportation est toujours aussi compliqué chez nos clients italiens ou grecs.
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