Le marché des bovins de boucherie est plus équilibré
La météo plus clémente des derniers jours lance les mises à l'herbe et autres travaux de printemps. Les industriels voient leurs approvisionnements se tasser. Cependant, les pièces avant de jeunes bovins s'accumulent, puisqu'elles ne sont plus envoyées vers la Grèce en raison du carême orthodoxe.
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Les industriels français réussissent à maintenir leurs tarifs dans les réformes laitières, avec des prim’holsteins O vendues entre 4,15 et 4,20 € et les P= entre 3,90 et 4,10 €. Les prix des vaches allemandes poursuivent leur progression entre 3,95 et 4,00 €.
Dans le domaine des jeunes bovins, l’offre actuelle est largement suffisante et entraîne un tassement des prix avec des charolais U vendus autour de 5,30 à 5,35 €.
Dans les femelles de qualité bouchère, les tarifs sont stables. On observe un certain plafonnement des prix dans les très bonnes femelles blondes d’Aquitaine, parthenaises, charolaises ou limousines. La demande est plus régulière dans les allaitantes de choix secondaire. Les charolaises, rouges des prés R ou croisées sont négociées entre 5,20 et 5,40 € à Cholet . Les bonnes charolaises U sont vendues entre 5,45 et 5,60 €.
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