Bovins de boucherie : les industriels couvrent plus facilement leurs besoins
Les industriels couvrent leurs besoins en ce début d’année. L’offre progresse ponctuellement, mais les volumes vont rapidement s’amoindrir.
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L’activité commerciale est assez régulière dans les réformes laitières avec des tarifs qui s’ajustent à la hausse après les fêtes de fin d’année. Les cours sont compris entre 3,85 et 3,95 € dans les prim’holsteins P +/O– et de 3,60 à 3,80 € dans la grande majorité des P= de poids convenables. Pas de changement dans le cheptel P–1 qui demeure valorisé de 2,30 à 2,90 € selon le poids. Les bonnes vaches normandes ou montbéliardes sont vendues de 4,20 à 4,35 €, mais les vaches P se négocient aux prix des prim’holsteins.
Dans le secteur allaitant, les acheteurs ont des besoins mesurés. La demande se concentre sur l’entrée de gamme pour charger les outils de transformation et pour le minerai de race à viande. L’offre n’est pas très abondante, ce qui permet un maintien des prix dans les femelles de qualité bouchère. Sur le marché de Cholet, les charolaises R sont négociées dans une fourchette allant de 5,15 à 5,30 €, avec une moyenne stable à 5,25 €. Les transactions sont stables dans les bonnes vaches charolaises U, dont les tarifs oscillent entre 5,40 et 5,60 €.
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