Bovins de boucherie Les abatteurs maintiennent la pression sur les laitières
L’offre saisonnière est modeste. Les écarts de valorisation avec nos voisins européens restent importants dans les réformes laitières, ce qui incite les industriels à maintenir la pression sur les prix.
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Les tarifs des vaches prim’holsteins O se tassent, de 4,85 à 4,90 €. La grande majorité des vaches P= 3 de plus de 300 kg se négocient entre 4,45 et 4,55 €. Dans les P2, la notion de poids est primordiale, car si les vaches lourdes se vendent entre 4,30 et 4,45 €, les légères chutent rapidement à 4,00 €. Les vaches P1 se vendent entre 3,20 et 3,80 € en fonction des abattoirs.
Les prix sont reconduits cette semaine sur le marché de Cholet. Les femelles blondes d’Aquitaine lourdes y ont été négociées entre 6,00 et 6,30 €. Les bonnes parthenaises restent valorisées entre 6,60 et 6,70 € dans les E, et de 6,00 à 6,50 € dans les U.
Les prix des vaches limousines U se maintiennent de 5,80 à 6,10 €, et ceux des charolaises R+/U– sont stables à 5,50 €. Le commerce est à l’équilibre dans les charolaises ou les rouges des prés R, donc les tarifs sont compris entre 5,40 et 5,50 €.
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