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Bovins de boucherie Stabilisation des prix

Après quelques semaines de tension sur le marché des réformes laitières, la tendance est à la stabilisation des prix. Pour cause, les volumes sont peu abondants et une nouvelle semaine est écourtée avec le lundi de Pentecôte.

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Les prim’holsteins P+/O– lourdes se sont vendues entre 4,60 et 4,65 €; elles étaient à 4,85 € il y a un an. La majorité des ventes se situe entre 4,50 et 4,55 €. La demande se renforce dans les campagnes en raison des faibles disponibilités. Les normandes et montbéliardes ordinaires se vendent entre 4,60 et 4,80 €, tandis que les bonnes O+/R– se situent autour de 4,90 €.

L’activité commerciale est calme pour les femelles de qualité bouchère, mais la faible offre maintient des tarifs convenables. Les blondes d’Aquitaine U de plus de 500 kg se sont valorisées de 5,70 à 6,10 € sur le marché de Cholet. Le commerce est régulier pour les génisses et les jeunes vaches charolaises R+/U– : la demande est légèrement plus soutenue dans le sud du pays. Les premières sorties d’herbage font leur apparition, et ces animaux sont recherchés pour leur qualité de gras. Les vaches R+/U– sont commercialisées entre 5,40 € et 5,45 €/kg net à Cholet ou à Saint-Christophe-en-Brionnais. Les tarifs se maintiennent pour les animaux standards R, avec des prix compris entre 5,25 et 5,40 € pour les charolaises. Les limousines U restent valorisées entre 5,50 et 5,90 €.

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