Bovins de boucherie Repli de la demande
Les tensions se renforcent dans le domaine des réformes laitières. Les industriels, qui souffrent d’une demande peu soutenue dans le secteur de l’aval et d’un manque de valorisation des parties « arrière », font pression sur le prix du vif. Du côté des allaitantes, l’activité commerciale est moins animée mais les tarifs se maintiennent.
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La baisse des prix des vaches prim’holsteins P+/O– se poursuit. Ces dernières se négocient entre 2,75 et 2,82 € en fonction des abattoirs. La majorité des laitières P= de plus de 260 kg de carcasse se vend entre 2,60 et 2,70 € tandis que les vaches P– légères partent entre 1,40 et 1,80 € selon leur poids.
S’agissant des vaches de races à viande, les transactions sont également plus calmes, compte tenu du mercredi 11 novembre férié. Sur les marchés de ce début de semaine, la tendance reste néanmoins au maintien des prix. À Cholet, les bonnes vaches charolaises U– à U= se vendent entre 4,05 à 4,15 €. Celles de conformation R= se valorisent entre 3,85 et 4,05 € en fonction des abattoirs. Les vaches rouges des prés et les croisées sont peu recherchées ; elles sont commercialisées entre 3,65 et 3,75 €.
En jeunes bovins, l’équilibre entre l’offre et la demande permet de tenir les prix : les charolais U se négocient entre 3,65 et 3,65 €.
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